Consultation nationale sur les avancées et les défis liés à la réalisation des droits des femmes au Togo à l’orée de Béijing +25

Pour mieux évaluer les actions faites sur le terrain en fonction des engagements pris par le Togo à Beijing, et selon le programme d’actions de Beijing 1995, la Coordination des Organisations Féminines du Togo (COFET) avec l’appui financier et technique de Urgent Action Fund (UAF-Africa) a initié son projet ‘‘Campagne d’information sur la déclaration et le Programme d’action de Beijing et Consultation nationale sur les avancées et défis liés à la réalisation des droits des femmes au Togo à l’orée de Beijing +25’’

Ce projet mené en grande partie en ligne avait pour objectif général de communiquer suffisamment sur la nécessité de réaliser les droits des femmes et évaluer les droits des femmes à Béijing+25 au Togo.

Spécifiquement, il a visé à :

  • Informer la population togolaise sur le contenu du Programme d’action de Beijing ;
  • créer des plateformes d’écoute des togolais et surtout des défenseurs des droits humains des femmes pour qu’ils s’expriment librement et directement sur le niveau d’évolution des droits des femmes et de la question sur l’égalité du genre au Togo ;
  • signer des pétitions sur le genre pour l’orientation des actions des décideurs sur la question du genre au Togo ;
  • faire des recommandations sur les défis pour les futurs programmes d’action sur le développement de la femme au Togo.

Une pétition lancée à la population en ligne a permis de relever les points  saillants

La dernière action était un atelier de validation des résultats et des recommandations tenue en collaboration avec le consortium Wep-Togo, AVIP et CONAFE qui traitait aussi un aspect de la question dans le but d’harmoniser les points de vue, les recommandations afin de soumettre ensemble un document unique aux autorités.

En termes de résultats, ce projet a permis 

  • aux organisations féminines du monde entier, surtout celles du Togo, de mieux cerner le contenu du programme d’action de Beijing, et de savoir sur quoi agir en vue de rester dans le contexte international et national.
  • au public et surtout aux acteurs et personnes ressources étatiques et non étatiques, aux autorités traditionnelles et locales de prendre la parole et se prononcer sur l’action publique en matière des droits des femmes.
  • de soumettre des recommandations aux autorités qu’elles pourront exploiter dans la définition des actions futures d’amélioration de la jouissance par les femmes et filles de leurs droits au Togo.

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